- Le choix de Sophie (William Styron), pour la beauté de l’écriture et la si brillante et poignante description du “choix” - un grand moment de littérature
- Tess d’Urberville (Thomas Hardy), pour la belle description de la société puritaine anglaise du siècle dernier
- L’empire des anges (Bernard Werber)
- Milan Kundera (La vie est ailleurs, L’insoutenable légèreté de l’être, L’Ignorance…)
- Le scaphandre et le papillon (Jean-Dominic Beauby), qui nous ramène simplement aux choses vraies de la vie
- Le chemin le moins fréquenté (Scott Peck), pour la croissance et le développement personnels
- Oscar et la dame rose (Éric-Emmanuel Schmidt), parce que la mort fait aussi partie de la vie
- L’erreur de Descartes (Antonio Damasio), parce que je faisais justement de la neurobiologie pendant tout l’été
- Cantique des plaines (Nancy Huston), pour découvrir cette grande auteure canadienne contemporaine
- Madame Bovary (Gustave Flaubert), pour lire enfin ce grand maître du style
Mais aussi…
- Le désert des Tartares (Dino Buzzati)
- Le parfum (Patrick Süskind)
- L’éducation d’une fée (Didier Van Cauwelaert)
- L’espérance autour du monde (Christian de Boisredon)
- Tous les Daniel Pennac, tellement frais et vivants !
- Les fourmis (Bernard Werber), parce que ces livres ont été à l’origine de toutes les aventures de ma vie depuis l’âge de 14 ans, de toutes les rencontres marquantes qui ont façonné ma jeune histoire
- Les frères Karamazov (Fiodor Dostoïevski)
- Tout passe (Vassili Grosman)
- Tarendol (René Barjavel), l’un des plus beaux romans d’amour que je connaisse (il est différent aussi des autres Barjavel, moins science-fiction…)
Mais je n’ai pas aimé du tout…
- Belle du Seigneur (Albert Cohen)
- Les filles du feu (Gérard de Nerval)