Une rentrée, même tout en douceur, c’est toujours éreintant… surtout quand on a aussi une sinusite en arrière-plan. J’ai la tête prise dans un étau. Hum, et avec le temps libre qui est de plus en plus compté, je sens que le rythmne d’édition de ce blog va être plus espacé… C’est là que le défi commence en fait !
Ceci mis à part, un professeur nous a fait comprendre ce matin à quel point la prison nous guette tous à la moindre gaffe. Les requins (communément appelés “avocats”) n’attendent que ça pour nous sauter dessus.
Ainsi, à compter d’aujourd’hui - formation de RCR oblige - et jusqu’à ma mort, je suis “l’intervenant désigné” s’il se passe quoi que ce soit, où que je sois, en quelque circonstance que ce soit. Ma responsabilité est maintenant plus grande que celle d’un quelconque quidam (qui se limite à celle du bon samaritain…) ; je dois toujours m’identifier comme tel, je dois savoir agir, et je dois le faire correctement.
Ma seule inquiétude : imaginons que je sois seule tard le soir, et qu’une espèce de drogué ou de poivreau jonche le sol (soyons honnête : on en voit souvent). Dans le doute, je dois m’approcher de lui, m’assurer qu’il respire, etc. C’est beau la théorie. Mais si, le sujet étant bel et bien conscient, cela l’énerve ou bien lui fait réaliser qu’il tient là une proie facile pour le vol, le viol, le défoulement - whatever ? C’est bien sympa d’aider les autres, mais bon, il y a des limites…