[…]
Comme chaque soir je te raconte
L’histoire des larmes de rue
Dans les bars qui puent les regards moisis
Et les corps meurtris
Allô Paris tout est fini
Et putain Je suis fatigué
J’aurais voulu quelque chose de bien
J’aurais voulu que tu me dises viens
Allô Paris tout est fini
Tu m’as tout pris même l’envie
Tu ne te souviens plus de rien
Tu oublies un peu plus chaque matin
Ta mémoire coule le long des trottoirs
En noyant mon désir dérisoire
[…]
Carnets de voyage: immigration et exceptionnalisme américain
Un séjour à Washington DC et les pensées qui en découle La suite