Sur le quai chacun sa peine
y a des mariniers qui pleurent
et de leur tas de tôles moisies
on entend monter leur cri
et sur la tête de ma mère
moi je te jure
qu’elle est belle la vie
et sur la tête de tous mes frères
mais pas sur la tête de mon chien
lui c’est mon copain
[…]
il suffirait vraiment d’un rien
il suffirait qu’on les aime
pour que les hommes pensent a demain
[…]
Carnets de voyage: immigration et exceptionnalisme américain
Un séjour à Washington DC et les pensées qui en découle La suite