Revenons du TNM après avoir assisté à sa mise en scène de la célèbre pièce de Molière. En Première, j’avais décidé de compenser mon manque flagrant de culture en lisant presque tout Molière (emprunté de la bibliothèque - pardon au “CDI” - de mon lycée nantais). Les Précieuses ridicules étaient portées disparues de la collection. Voilà enfin ce tort réparé.
Je déplore seulement l’ajout malvenu et prétentieux d’un prologue et d’un épilogue (à saveur révolutionnaire et anachronique) à l’oeuvre.
À part ça, bien du plaisir, comme toujours, avec le langage et l’humour du maître français… J’ai mis longtemps à comprendre pourquoi on disait de la langue française qu’elle est la sienne, mais c’est bien acquis maintenant. Sinon, Marie-France Lambert était tout simplement délicieuse dans la peau de Magdelon.