*Pour l’aimer, il n’eut plus que la mer,
ce vide majestueux à portée de la main,
[…]
Où la toucher dans le paysage ?
Où vérifier qu’elle le désire ?
Tout était vert et sans mesure,
la nuit lui prendrait ses restes d’images,
le laisserait
comme un homme sur une plage.*
Tributaires du vent (Régine Foloppe Ganne)