*C’est la mer,
cet effort dans le vent…
[…]
ce qu’on serre dans nos yeux, ce qui bouge en moi.
[…]
on aura ses perles, ses racines, sa grandeur,
[…]
les entrées de mon corps, on ira,
un morceau de fruit, une lenteur,
et ce sera la mer,
ce goût resté à des endroits.*
Tributaires du vent (Régine Foloppe Ganne)