Voici donc l’endroit où je passe le plus clair de mon temps de travail hors fac. Tous mes livres de médecine (enfin, ceux cumulés jusqu’ici) s’y trouvent ; les polycopiés (codex) manquent cependant à l’appel. Notez comme la tablette ploie allègrement sous ce poids monstrueux. (On remarque aussi la présence d’une carte postale de Guadeloupe de Leeloolène et les peluches offertes par Hoëdic.)
On constate également le pragmatisme américain : le titre d’un livre en anglais posé à plat se lit dans le bon sens. Les bouquins français mis dans cette même position voient au contraire leur titre se lire à l’envers, la tête en bas. C’est irritant.