Ton visage seul me servait, avec ses yeux en feuilles tout près de moi, tu pleurais.
Je me penchais dans les couleurs pour t’atteindre, mes bras toujours fuyants s’allongeaient dans des bals de forêt, des semis de papier que tu ne voyais pas.
Tributaires du vent (Régine Foloppe Ganne)