Je n’ai pas trop à me plaindre de ma fin de session. Comme je n’ai pas tous mes cours simultanément mais bien un à la suite de l’autre, je ne suis pas submergée d’examens et j’en suis fort aise.
Alors allez, encore un peu de courage, plus que deux examens avant d’enfin avoir droit à deux petites semaines de vacances pour dormir (avant d’entamer ma session dite “d’hiver”, qui s’achèvera le 2 juin…). Et accessoirement enfin revoir ma belle-maman. Je crains qu’elle ne soit déçue parce que notre jolie neige de lundi va fondre sous la vulgaire pluie de demain.
Vous savez pourquoi il pleut, demain ? Parce que je dois me rendre à l’hôpital Sacré-Coeur pour mon ECOS, à 8h. Ben oui, il appert que je suis une personne obstinément malchanceuse. Toutes les fois où je dois traverser la ville pour me rendre dans un coin paumé par mes propres moyens (avec un peu d’aide de la STM, mais ce n’est pas toujours gagné ni adéquat), il pleut à boire debout. Et le métro tombe en panne. Mais ça, c’est une autre histoire.
Bref, demain c’est mon premier ECOS. Des patients-comédiens vont se pointer avec des problèmes, que je vais devoir questionner comme il faut avant de déterminer et de faire un examen physique approprié. 5 fois 10 minutes (ça augure bien pour le temps que je passerai avec chacun de mes futurs patients ça !), séparés chacun d’1 minute. Il s’agit de dire tout ce qu’on fait et pense, au fur et à mesure. C’est un peu stressant pour un examen, de devoir se rappeler, penser, dire et faire à la fois, le tout devant un regard scrutateur (et avec mon niveau de compétence très… débutant).
Alors, en prévision de cet examen, Hoedic a encore subi un examen physique complet. Y compris avec le diapason.
Ya un truc avec le diapason, c’est que Safran en est folle. Ça la rend complètement dingue. Elle me suit partout dans l’appartement quand j’ai ça dans les mains. Et si je le mets à son niveau… elle cherche à le bouffer avec hystérie. Elle est vraiment tarée cette chatte !