Le hockey, une religion

par Hoedic

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Non, je ne vais pas parler du Canadien qui a vaincu le Wild du Minnesota par la peau du cul, bien que j’aurais pu. Non, je parle des milliers (millions ?) de québécois qui jouent au hockey.

Mais le soucis, c’est que malgré le nombre élevé d’arena (oui, cette fois-ci j’utilise le terme québécois qui en bon français se dit patinoire - ah bon, on vient de me dire que patinoire c’est dehors alors qu’arena c’est dedans, bon, soit), il n’y a pas assez de place.

Il est possible d’utiliser les arenas en pleine nuit pour jouer des matchs de ligue de garage (Ligues, souvent seniors, non officielles, bandes d’amis qui ont constitués des équipes et veulent pratiquer un peu).

Heureusement, l’hiver est là ! Et avec l’hiver, pour faire une patinoire, il suffit d’arroser. Éventuellement on place une rambarde de bois autour et c’est bon. Ces patinoires voient le jour dans tous les parcs et même dans les cours de récréation des écoles.

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Un jeudi soir

Ceci dit, ça nécessite pas mal plus de courage que de jouer au foot (soccer) dans une arrière-court ou sur un bout de gazon en Europe. Avec des températures négatives (il faut bien que ça gèle), voire franchement glaciales, il faut une bonne dose d’envie pour enfiler les pantins et courser une rondelle de plastique.

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