Je me souviens encore de mon premier vrai contact avec le monde oriental. J’étais en 3e année du primaire dans ma banlieue nord-est de Montréal.
Pour rappel, dans cette banlieue, les seuls Asiatiques que j’étais susceptible de croiser étaient également une curiosité locale. C’était en fait le plus souvent des petites Chinoises adoptées. Alors ma vision des Orientaux était qu’ils se font tous adopter par des Occidentaux. (C’est pas ça ?)
Donc en 3e année, en cours de pastorale, nous avons eu la visite d’une soeur missionnaire nommée Claire qui revenait d’une mission au Japon. Elle avait même mis son kimono [je veux un kimono], et elle nous a longuement entretenu de son pays d’accueil. Cette expérience a laissé une marque indélébile en moi.
Depuis, je me suis bien sûr ouverte à la culture japonaise (telle qu’on l’entend en France du moins), par l’intermédiaire d’Hoëdic surtout : Evangelion et quelques autres mangas y sont passés…
Un jour nous irons au Japon et autour, ce sera mieux, pour découvrir ! Même si j’ai l’impression que les pays d’Asie sont toujours difficiles à cerner et à pénétrer, pour un Occidental…
J’en profite pour faire un 2 en 1 : il m’est arrivé assez souvent de pleurer devant des films, trop, sûrement, pour que je puisse les recenser. Cela dépendait surtout de mon état émotionnel à divers moments de ma vie. J’ai eu des périodes de grande sécheresse, et d’autres où mes yeux s’humidifiaient à tout va. C’est comme ça.
Mais le film qui m’a le plus émue et attristée est sûrement, à l’instar de plusieurs autres blogueurs, Le tombeau des lucioles.