Faute de temps, les Québécois mangent toujours plus de plats surgelés, qui contiennent généralement beaucoup trop de gras, de sucre et de sel. Et mes compatriotes sont aussi toujours de gros carnivores, le boeuf arrivant bon premier - et de loin - dans le panier d’épicerie annuel !
Par ailleurs, les boissons gazeuses ne dégringolent pas encore, malgré l’épidémie d’obésité annoncée. Il y a bien eu une légère baisse de leur vente, mais compensée de façon équivalente par la hausse des achats de leur version “diète” !
Et la nutritionniste en une du Devoir de commenter : “Avant, on demandait aux gens qu’on rencontrait s’ils avaient déjà fait à manger. Aujourd’hui, il faut leur demander s’ils ont déjà vu quelqu’un faire à manger.”
Quand on parle de problème de société, qui va au-delà des individus…