Encore des rêves

par Hoedic

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En ce moment, je rêve énormément. Est-ce le fait d’un médicament que j’ai commencé à prendre récemment (Ebb m’a confirmé que c’était possible), est-ce le fait de Bagheera qui ne peut s’empêche de coller un humain pendant la nuit (ce qui me réveille, réveils qui me semblent propices au rêve) ou est-ce autre chose ? Je ne sais pas mais une chose est certaine, au petit matin j’au souvent 2, 3 voire 4 rêves en mémoire et souvent avec un niveau de précision assez inhabituel.

Cette nuit, ce fut encore un feu d’artifice en la matière. L’autre soir, alors que justement je n’arrivais pas à m’endormir, je me disais qu’il faudrait que je cesse de rêver de mon chien, mort il y a maintenant 4 ans. Forcément ça n’a pas loupé j’en ai rêvé cette nuit mais pas comme d’habitude. D’habitude Bahia, un beau setter irlandais qui a vécu jusqu’à 14 ans malgré ses problèmes de santé, était présente dans mes rêves comme si elle n’avait jamais disparue. Durant mon rêve, je savais qu’elle était “disparue”, puis elle revenait gratter à la porte comme elle le faisait quand elle sortait se promener toute seule, comme si elle revenait d’une longue promenade. Et dans mon rêve, je me disais que j’allais enfin pouvoir cesser de rêver d’elle avec culpabilité car elle était enfin revenue.

Nous étions dans notre maison de Nantes, et alors que ma mère dormait dans sa chambre, à coté d’où je me tenais, il fallait quand même que l’appelle pour la prévenir car elle était supposé être loin, quelque part en Allemagne… Puis finalement Bahia venait sur son lit et la réveillait et tout le monde était si content de la retrouver.

Mais j’étais en retard… en retard pour aller en cours. Je descends de l’appart (qui maintenant n’est plus la maison de Nantes mais l’appartement de la mère de Ebb), mais je me suis mis à la porte et j’ai également oublié les clés de la voiture. Je monte, je descends, je cours partout sans savoir où je vais pour finalement m’installer au volant de la 205 Green GTI que maman m’a offert pour ne plus que je me casse la gueule en vélo. Une 205 avec le volant à droite dans les rues de Repentigny, étonnant. L’accès à l’autoroute 40 Est est bloqué, je dois donc prendre une voie qui me fait arriver… quelque part dans le Morbihan.

Je vais arrêter là car ça continue pendant longtemps sans que ça présente de réel intérêt, ni pour moi, ni pour vous. Ce mix de réalité française et québécoise me laisse perplexe. Est-ce le fait d’une lente transition de mon esprit entre France et Québec ? En tous cas, je n’ai aucun doute que le retard permanent ressenti dans ce rêve vient du faire que je n’ai rien fait vendredi et samedi et que de ce fait j’ai pris du retard dans mes cours et notamment pour l’intra que j’ai mercredi.

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