Un certain 18 février 2005, un journaliste caricaturiste, comme le nommait alors Laurent, prouvait qu’il était préférable pour lui rester dans sa bouse au fin fond d’un village québécois que de faire un article sur Paris (article toujours en ligne pour les curieux).
L’homme remet ça cette fois avec une critique sur le dernier Asterix. Que ce soit une daube, je le veux bien. Ce n’est pas une raison pour pondre ce genre d’article et chier sur les gens sur un fond de “ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers, regardez ce qu’il reste”.
Les bloggueurs n’ont pas de déontologie et à ce titre ne peuvent pas faire de “journalisme” mais quand on voit ça, on se demande ce qu’est le journalisme…
Par ailleurs, petite remarque générale : très très rarement un journaliste québécois va descendre en flamme une production locale. En revanche les productions françaises reçoivent souvent le surplus de fiel accumulé et non déversé sur les merdes des gens d’ici.
Update : voici par exemple une critique intéressante de ce triste épisode gaulois. On peut signifier que c’est nul sans pour autant chier dessus et même en amenant des éléments pleins de sens.
Note supplémentaire : je veux bien croire que pour les fans d’Asterix, la pillule est difficile à avaler, pour ma part je n’ai jamais été très fan de BD par conséquent ça me passe assez au-dessus.