Histoires de pets

par Hoedic

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Soyons légers aujourd’hui et permettez-moi d’assumer mon coté scato trop souvent refoulé, parlons pets !

Comme l’a fait remarquer Olivier (* Malheurement, je n'arrive pas à remettre la main sur l'article d'Olivier, photos à l'appui finalement je l’ai retrouvé, le billet en question était plus récent que je ne pensais), les chiottes nord-américains ne sont pas vraiment marqués par le puritanisme étatsunien puisque les cloisons sont systématiquement passantes, permettant ainsi à chacun d’entendre tous les borborygmes sur le départ des autres chieurs siégeant sur les trônes d’à coté.

Image

Truck

Et trop souvent, ceux arrivant dans la précipitation laissent aller, pendant de longues secondes, et non sans une satisfaction évidente, des vents bruyants et visiblement audiblement comprimés durant de longues heures.

Il est évident que ces pauvres bougres se retiennent bien trop !

Je souhaiterais donc que le lecteur ici présent comprenne que lacher une caisse discrètement n’est pas un délit ni un forfait. C’est effectivement un art que de se séparer de ses flatuosités sans bruit mais c’est très satisfaisant et bénéfique pour la santé intestinale et le bien-être de l’Humanité. C’est par ailleurs l’occasion de situations incongrues, comme de voir tout le monde se regarder avec méfiance après avoir louffé sentencieusement (et silencieusement) dans un ascenseur.

Bien entendu, un jour l’homme sera libéré de ses vicissitudes pétomaniaques grâce à des nanobots mangeurs de gaz ou des pilules du bonheur qui rendent joyeux tout en étant enfin efficaces contre les flatulences.

En attendant, desserrez donc les fesses et laissez-vous aller, en tout lieu, votre vie n’en sera que plus légère !

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