Chez nous, les plantes, c’est presque aussi important que les chats. Par conséquent, comme une amie, il est important de faire connaître à tous l’état de nos plantes.
La grande nouvelle pour moi ce sont mes piments. Grâce à quelques conseils avisés, mon pimentier m’a fait 4 beaux fruits. Et j’ai réussi à sécher avec succès le premier d’entre eux sans qu’il ne pourrise en cours de route. Des jalapenos, des piments chauds chauds chauds ! Les trois autres sont encore sur l’arbre ; ils vont subir le même traitement à savoir suspendus par la queue chez moi et à chaque fois que le four est utilisé, les piments y passent après la bouffe. Quand ils seront tous prêts, ils plongeront dans une bain d’huile pour faire de l’huile pimentée.
Jalapeno séché
Piments en train de maturer
Nous hébergeons aussi depuis un peu plus d’un mois une nouvelle phalaenospsis particulièrement généreuse en fleur. Elle se tient bien pour l’heure mais la mise en marche du chauffage a fait plonger l’humidité (ce que nous savons grâce à l’hygromètre acheté récemment). Cependant en pulvérisant de l’eau le matin nous arrivons à maintenir une humidité suffisante pour l’heure.
Au début de l’été nous avons également acheté un bel ibiscus mesurant un bon 1m40. Au début nous l’avons mis à l’intérieur ce qui a failli le tuer. Il a passé l’été dehors ce qui lui pour lui permettre de se replumer. On s’attendait à ce qu’il meure en le rentrant mais, après avoir perdu un petit quart de ses feuilles, il semble s’adapter depuis 2-3 semaines (et il fait encore quelques grandes fleurs rouges). La morale c’est qu’un ibiscus a besoin de bien plus d’eau que nous l’avions pensé la première fois.
Quant à ma gynura aurantiaca ramenée de France sous forme d’une mini-tige agrémentée de 2 petites feuilles, elle vient d’entreprendre une phase de poussée le long d’un petit tuteur avec un phototropisme impressionnant.
Nous avons bien d’autres plantes, des violettes africaines, un ficus, des bambous et autres mais ce serait trop long d’en faire le tour. C’est certain que c’est prenant d’entretenir tous ces végétaux, mais ça change l’ambiance de l’intérieur. Si nous avions plus de fenêtres (et que nous étions mieux orientés) ce serait surement la jungle amazonienne ici !