Le principe de Peter stipule que « Tout employé tend à s’élever à son niveau d’incompétence. » Depuis que j’ai découvert ce principe, je me suis toujours demandé quand j’atteindrai mon niveau d’incompétence.
En Novembre dernier, une réorganisation où je travaille m’a plus ou moins propulsé de plusieurs échelons. Je me retrouve avec une charge de travail et une pression inhabituelle. De retour au travail hier, je me demandais si je n’avais pas atteint mon seuil. Sensation difficile de ne pouvoir faire plus.
Cependant, quand j’y pense, cette vision de la nature, à savoir qu’une personne a en elle une limitation intrinsèque ne correspond pas à ma vision des choses. Bref, tout ça pour dire que finalement que je ne vais pas me laisser aller à considérer que j’ai atteint ma limite.
Mais ceci va impliquer de bosser dur… et ça ne va pas s’améliorer avec le départ en congé maternité d’une collègue en mars.
Le point positif c’est que je n’ai plus de cours pour ma maîtrise. Aussi incroyable que cela m’aurait paru si on me l’avait dit en décembre, j’ai obtenu un A- miracle pour mon cours d’économie de l’environnement que je craignais fortement d’échouer. Le point négatif, c’est que j’ai encore un projet de recherche à réaliser, un projet assez lourd et surtout un projet pour lequel je n’ai pas de sujet. Trouver un sujet sera donc la première et peut-être la plus problématique difficulté tant j’ai, par nature, des difficultés à restreindre mes idées.
Parmi mes autres occupations de l’année à venir on trouve Projet Montréal et l’association de développement international Le Rônier. Il y a également des projets plus geek et dans le domaine de la sphère politique, mais pour le moment rien n’est certain, donc chut !
Mais finalement, la seule chose non-négociable c’est de pouvoir passer du temps avec ma tendre et douce. Bref, j’ai peut-être les yeux plus gros que le ventre, mais ma priorité première est claire ; pour le reste qu’advienne que pourra.