Que le temps paraît long quand on attend une nouvelle aussi importante…
Que ferai-je les cinq prochaines années, puis pour le reste de ma carrière ?
Je me conditionne à penser que puisque j’hésitais autant entre tous ces domaines passionnants (bien que très différents), peu importe celui que j’obtiendrai, je m’y plairai bien.
Et puis le travail ne fait pas tout dans la vie, il n’est pas maître de notre bonheur ou notre malheur, il ne saurait nous définir sans être étroit et restreint.
L’important est de bien vivre dans ce qu’on fait, de modeler positivement ce qu’on est. Ce n’est pas le résultat du 14 mars qui y changera quoi que ce soit.
Alors encore une semaine de motus et bouche cousue.