Ainsi, ce sera BIXI. Dommage pour mon VéloCité qui me plaisait bien, et ça ne me vaudra pas un abonnement d’un an gratuit au service inspiré des Velo’v et autres Velib’.
Et après tout, qu’en aurais-je fait ? Et qu’en feront les Montréalais ? Paris et Montréal, ce n’est pas le même combat. Les Montréalais possèdent déjà des vélos dans une large proportion, il n’y a pas trop de limitation pour stationner les vélos ni pour circuler.
Bref, je cherche encore à savoir qui seront les clients du Bixi et pourquoi. En attendant, il serait surement plus intéressant (mais plus couteux) de définir une stratégie de déploiement des pistes cyclables qui permette une utilisation mixte avec les transports en commun, et avec cela du stationnement en proportion (dans et hors Montréal). Même si ça s’améliore tranquillement, le chemin est encore long quand on voit justement combien les Montréalais utilisent déjà leur vélo !