Bientôt l’école. À voir la manière dont notre vie sera régentée par l’école, c’est à se demander qui de nous ou de notre plus grand aura le plus l’impression de se retrouver sur les bancs d’école.
Ainsi partirent-ils tous ensemble, un dimanche au matin, contre le vent, contre la mousson, contre la marée et contre la raison, sans songer seulement aux dangers de la mer, mais si obstinés et aveugles dans leur résolution, qu’ils ne s’embarrassaient d’aucune difficulté qu’on leur pût présenter. Et sur l’une de ces jonques, je me trouvais aussi.
Fernao Mendes Pinto. Pérégrination. (traduction de Robert Viale, 1983)