Sevrage

par Hoedic

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Yeux

Eastman, le 23 juin 2013.

Habituellement, je ne m’appesantis pas sur le développement de nos enfants. Certains voient avec tristesse arrivée la “fin” de leur bébé. Au contraire, chaque étape de développement m’apparait comme positive. Chaque année, chaque mois, amène un enfant avec qui il est possible de faire plus, qui comprend plus, bref rien à regretter.

Sauf ces derniers jours où je dois me défaire de l’habitude que j’avais d’endormir Axel comme un bébé: Dans la chaise berceuse inclinée je l’allongeais face contre moi, il se blottissait, je lui chantais des… berceuses. Il s’endormait dans mes bras, souvent je m’assoupissais aussi. Moment de contact privilégié, d’union dans cet état de décontraction et d’abandon qui précède le sommeil.

Sauf que nous étions rendu où le seul moyen de le coucher était celui-ci, ce qui a le désavantage d’être long, surtout pour une simple sieste. Alors maintenant je le dépose dans son lit. Les berceuses ne l’endorment plus et je me sèvre de sa présence sur moi.

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