Take back your city, suite

par Hoedic

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Le capitaine nous fait l’honneur un très bon article sur sa vision des défusions québécoises (lire son article ainsi que celui-là pour comprendre la notion de défusion).

Quelques petites remarques de bon goût au passage comme celle-ci :

La route pittoresque, qui longe la côte de Lachine à Senneville, offre de magnifiques panoramas sur le grand fleuve et traverse des banlieues vertes et bourgeoises, parfois presque campagnardes, qui ne sont pas sans rappeler par instants certains havres huppés du grand Londres, avec cette touche subtile de mauvais goût architectural propre au Canada, et une pénible appétence pour le vieux rose et mille et une variations autour du café-au-lait et autres couleurs lavasses.

La suite reflète bien mon incompréhension vis-à-vis de ce processus démocratique de défusion. Si la fusion de villes a été pour le moins brutal, la défusion est à tout le moins stupide. Même si pour l’ouest de l’île de Montréal l’antagonisme franco/anglo est évident, il en est tout autrement pour la défusion de la ville de Longueuil, une banlieue de l’autre coté du fleuve, où il est évident que c’est un question de renommée : vivre à Brossard, c’est pas pareil que Longueuil.

Quoiqu’il en soit, j’ai déjà donné mon avis sur le sujet : Montréal et les grands villes québécoises ont d’autres chats à fouétter. Pour avoir travailler avec des gens de la Ville de Montréal, je sais que ces histoires de fusion/défusion bloquent bon nombre de décisions importantes à tous les niveaux depuis pas loin de 6 ans. À un moment où Montréal doit défendre sa position de métropole canadienne face à Toronto (quoique déjà largement devant) et Vancouver (qui va bénéficier de l’effet JO), il me semble que les querelles de clocher n’ont pas trop leur place.

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