On remarquera qu’à elles deux, elles comblent admirablement bien le panier :
Et après une bonne sieste, il faut bien s’étirer un peu, même si cela doit se faire sur le dos !
Bonne nouvelle année à tous, miaulent-elles en coeur ! ;)
On remarquera qu’à elles deux, elles comblent admirablement bien le panier :
Et après une bonne sieste, il faut bien s’étirer un peu, même si cela doit se faire sur le dos !
Bonne nouvelle année à tous, miaulent-elles en coeur ! ;)
La fin de l’année 2005 fut difficile : surcharge de travail comme je n’en ai jamais vécu, impression d’être incapable, sorte de paralysie à la simple idée de faire quoique ce soit sortant des terrains balisés tout en ayant une irrépressible envie de nouveauté, de changer, de créer surtout. La frustration, alors, ne tarde pas à naître et à tourmenter l’esprit.
Pourtant l’année 2005 ne fut pas si mauvaise, et fut elle-même placée sous le signe du changement, changements pour le mieux, changements importants.
Hormis le déménagement qui, au-delà d’un simple changement d’intérieur, a eu l’effet d’un changement de vie, j’ai enfin décroché mon premier vrai boulot stable depuis que je suis à Montréal, c’est pas rien ! Année d’une demande en mariage ainsi que de nombreuses découvertes, des plusieurs engagements, d’une sortie du tunnel.
Année d’une déconvenue dans la non-réalisation d’un doctorat que j’aurais pourtant souhaiter faire, fin d’année éreintante comme je l’ai dit, durant laquelle je ne peux ancrer mes nouveaux engagements et mes découvertes comme je l’aurais souhaité.
Sur la voie du renouveau, j’ai eu les yeux plus gros que le ventre ; je me suis cru un fringuant athlète alors que je sortais de convalescence et une année qui avait commencée en trombe se termina sur les genoux.
Mais le bilan est positif ! Mes horizons se sont ouverts par rapport à la même date l’année dernière. Il faut désormais concrétiser les ouvertures que se sont fait jour.
Sans parler de résolution, je me suis fixé des objectifs et je souhaite pouvoir les garder en vue tout au long de l’année. Tout comme 2005, 2006 devrait être une année de changements, peut-être plus contrôlés, plus progressifs, mais des changements majeurs tout de même.
Je n’aime pas trop balancer des “bonne année” à tout bout de champ, mais cette période d’accalmie à tous les niveaux n’en demeure pas moins propice à l’introspection ainsi qu’à la prospection. J’espère que nos lecteurs aurons également profité de cette période pour méditer et repartir à la conquête de cette vie parfois difficile, mais toujours attirante !
Parfois, il est bon de regarder un peu en arrière, pour constater le chemin parcouru et s’encourager à poursuivre dans la même voie.
Pour moi, l’année 2005 fut celle de :
Pour 2006, on va espérer que le fruit de notre minutieux travail organisationnel, pour le mariage et le voyage, soit aussi paradisiaque et inoubliable que nos souhaits les plus fous l’ont imaginé.
Ce sera aussi l’année des stages importants de l’externat. Ceux que je vais faire à reculons (chirurgie-anesthésie), ceux que j’ai hâte de faire car ils devraient être déterminants dans mon orientation (pédiatrie, gynéco-obstétrique), et puis les autres : psychiatrie, urgence, médecine familiale, etc.
Car ce sera aussi l’année du choix et de la demande en résidence…
Bref, il y a encore du pain sur la planche ! Mais l’année devrait commencer pour nous dans un feu d’artifice de joie (plus le soleil, la mer, le sable…) ;)
La Grande-Bretagne produit 700 fromages régionaux, plus que la France !
La grippe espagnole, l’épidémie qui tua 50 millions de personnes en 1918-1919, était connue sous le nom de gripppe française en Espagne.
Les Anglais achètent près d’un million de potirons durant le période d’Halloween, 99% servant de lanternes plutôt que de nourriture.
Tiré de 100 things we didn’t know this time last year de la BBC