Salon de l'amour
Tu parles d’amour et de séduction !…
Le tout “18ans+”, avec des spectacles pour elle et lui (ça fait très “amour” ça, mais ont-ils pensé aux gays ?), des idées cadeaux pour la Saint-Valentin (tournée de godes et plugs, c’est moi qui paie) et sponsorisé par toutes les boutiques porno et les fabricants de capotes du coin.
Note : on remarque la parfaite non-pilosité aussi bien de la femme que de l’homme. Le poil, nouvel ennemi de la société moderne avec le gras, le pas assez de seins, la petite bite et la calvitie… parce qu’il faut des cheveux mais pas de poils. Quoique je sais pas si vous avez remarqué mais les hommes très poilus sont souvent dégarnis. Faut-il y voir un lien de cause à effet ? Ce qui pousse à un endroit ne peut pousser ailleurs ? Peut-être est-il possible d’y trouver la réponse au salon de la pornographie séduction.
L'amitié, c'est compliqué
Une amie à qui je tiens énormément ne va pas trop bien, dernièrement.
Je ne sais même pas si elle lit toujours ce blog, mais j’aimerais tellement qu’elle sache que je l’aime et que je la soutiens, même si je me sens incroyablement maladroite et que je ne sais pas comment m’y prendre.
Je ne suis pas toujours sûre de comprendre ses réactions, mais je respecte le temps dont elle peut avoir besoin et l’envie qu’elle peut avoir de couper les ponts quelque temps.
Cependant, j’espère ne pas être réductible pour elle à la cause qui la rend actuellement malheureuse.
Je suis certaine qu’elle a toutes les ressources intérieures pour passer au travers. Il faudrait juste qu’elle ne s’oublie pas, dans tout ça. On ne peut pas s’effacer soi-même et il faut bien continuer à avancer. Il ne faut pas non plus avoir honte d’avoir besoin d’aide ni hésiter à aller en chercher.
Je voudrais juste qu’elle sache que je suis là, dès qu’elle voudra ou en aura besoin.
Petites rivalités
Propos tenus par un prof chirurgien, au sujet de ses collègues les microbiologistes :
“Quand le seul outil qu’on a est un marteau, c’est sûr qu’on voit des clous partout” [faisant référence à leur usage des antibiotiques].
En verlan dans le texte !
J’ai appris avec beaucoup d’amusement que le verlan existe aussi au Sénégal. Donc en wolof aussi (héhé, ça va pas m’aider à apprendre et comprendre, ça !).
Par exemple, les Sénégalais ont un mot wolof pour parler des “Blancs” : c’est toubab. (C’est l’équivalent du gringos sud-américian.)
En verlan, ça donne babtou.
Mieux vaut être prévenue !