Je viens tout juste de passer mon Firefox à la version 1.0PR, aussi bien sous Windows que sous Linux.

Disons ce qui est, le renard de feu passe à la vitesse supérieure : install dans les régles avec import automatique des données des autres navigateurs installés, gestion efficace des plugins comme Flash, etc.

Alors je pose la question, pourquoi s’en priver ?!?!

Get Firefox!

Alors toi, oui, toi qui me lis avec ton Internet Explorer tout pourri, pourquoi utiliser un navigateur non sécuritaire qui ouvre ton ordi à toutes sortes de logiciels espions à ton insu ? Pourquoi te priver de naviguer avec des tabs permettant d’ouvrir des tonnes de pages en même temps ?

Et sache, toi, lecteur, qu’avec Firefox, tu pourrais voir des choses sur mon blog que tu ne peux pas voir avec ton IE (comme c’est le cas sur de nombreux blog d’ailleurs).

Alors tu vas prendre ta petite souris, aller sur le site de Firefox et tu vas installer ce gentil navigateur !!!

Ajout : Ah oui, et cette version de Firefox gère également les feeds RSS/Atom… bon, ça ne remplace pas un vrai lecteur de feed mais pour les gens qui ne veulent pas en installer un et suivre quelques blogs par exemple…

Deux encarts traitant de blog sur la page d’accueil du quotidien Le Monde, ça a de quoi surprendre tout de même.

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Le Monde et les blogs

À l’instar du Devoir, certains journalistes du Monde, enfin au moins un, semblent s’être lancé dans le blog. À suivre…

Comme je l’ai signalé récemment, je suis à la recherche d’une organisation qui accepterait que moi et mon équipe de 4 personnes allions mettre notre nez dans les problèmes de gestion du personnel.

Bien entendu, nombreuses sont les entreprises que ça n’intéresse pas, bien nombreuses sont celles où tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes de toutes manières (on peut toujours rêver).

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Dégradé automnal

Grâce à un contact de Ebb, j’ai réussi à être en contact avec une institution para-gouvernementale d’envergure prévoyant de faire une réorganisation de ses services, ce qui est toujours un événement qui fait passablement de bruit et est donc propice à ce genre d’étude.

Au début tout allait bien, j’étais en contact avec un “opérationnel” qui semblait d’accord. Puis est venu le moment de demander l’autorisation aux échelons supérieurs, notamment les communications. Au début ce fut plutôt oui, puis plutôt non. Hier j’appelle et on me répond que le projet sur lequel nous souhaitons travailler n’est passez avancé pour en faire une étude.

Je dis alors que je suis ouvert à travailler sur toute autre problématique, même mineure, là on me répond clairement que de toutes manières c’est non pour tout, et ça vient d’un niveau supérieur…

Ok, suffisait de le dire dès le début, c’est pas la première personne à me répondre ça.

Je continue à discuter un peu avec cette personne pour voir si je ne peux pas forcer un peu la main, trouver autre chose, etc. Assez rapidement elle en vient à me dire qu’il serait préférable que je demande à un Québécois (comprendre “pure-laine”) de mon groupe de faire les appels téléphoniques !

Je suppose que pour qu’elle me dise ça aussi rapidement dans la discussion, que c’est un élément qui a ouvertement joué en ma défaveur. Bref, que ce projet se fasse dans le cadre d’une maîtrise pour l’École Polytechnique de Montréal n’est pas encore suffisant pour être crédible, il faut aussi être Québecois… Et après certains disent que le Québec est ouvert, j’ai du mal à le croire !!! (je rappelle qu’on parle d’un organisme para-gouvernemental en plus)

Je viens de regarder le débat des présidentiels américaines (c’est tellement pratique d’avoir ce genre de débat sur les chaînes publiques locales :p).

C’est tellement difficile de trancher, surtout que je demeure avec mon avis, ma vision, je ne suis pas forcément influencé par les mêmes éléments que les électeurs américains… c’est tellement évident pour moi que l’avortement doit demeurer légal !

En tant que tel, Bush semblait plus sur la défensive que Kerry et d’ailleurs à deux reprises, Bush n’a pas se retenir “d’exploser” en coupant le présentateur.

Je me demandais ce que pourrait bien donner ce format de débat où les spectateurs posaient les questions. Le fait d’autoriser les candidats à se promener faisait un peu élection de Miss America.

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This land is my land

Cependant je trouve le mode de discussion assez bien et ça permet à chaque candidat de bien passer son message et de s’expliquer. De plus les questions, dans les deux débats, étaient suffisamment poussées pour forcer les candidats à sortir de leur zone de confort. À coté de la foire d’empoigne que sont les débats politiques français, on y gagne en clareté. Ça permet aussi d’apprécier à quel point ils connaissent leur “leçon” et ils la connaissent globalement assez bien finalement… même Bush qui passe tant pour un benet (il faut bien dire que malgré tout Kerry allait plus en profondeur).

Bref, ces débats sont vraiment intéressants et clairs, ils restent dans la limitation de temps qui est imparti à chaque intervention (indépendamment des mensonges qui peuvent être proféré notamment par Bush). Je suis impatient de voir le dernier !

Les vidéos sont de nouveau accessibles en ligne

Note : en faisant quelques recherches sur ‘ternet, je viens de me rendre compte que la première réponse de Google à “bush kerry” est Jibjab ce que je trouve assez extraordinaire…

On se croirait en secondaire 5.

Bal, bague, album des finissants, parade de mode… Ça vous rappelle quelque chose ? À moi aussi !

Pour célébrer la fin du préclinique et de la vie de notre promotion, c’est cette année que nous allons festoyer et célébrer comme des finissants, bien qu’on ne finisse l’externat que deux ans plus tard. Il faut voir qu’à l’externat, nous ne serons plus ensemble, et de toute façon, nous n’aurons alors plus le temps d’organiser quoique ce soit. Alors c’est maintenant que ça se passe.

Sauf qu’on s’est tellement pris pour des grands et des “finissants”, quand on était encore jeunes, en secondaire 5, que tout ce que ça m’évoque maintenant, c’est une impression de déjà vu et de remâché !

Pourtant, alors, nous ne faisions que “semblant”, histoire d’imiter les grands, et c’est maintenant que devrait être la “vraie fois”.

À trop vouloir donner pompeusement de l’importance aux moindres moments de la vie, on en vient à ne plus savoir apprécier la saveur des plus marquants.