If you treat a sick child like an adult and asick adult like a child, everything usually works out pretty well. (Ruth Carlisle)

A problem adequately stated is a problem well on it’s way to being solved. (R. Buckminster Fuller)

Human beings love company even if it is only that of a small burning candle. (Georg Christoph Lichenberg)

L’été commence à se faire vieux, comme en témoignent certains arbres qui virent au rouge du fait des dernières nuits fraîches du fait du raccourcissement du jour (on se rattrappe avec des journées proches de 30°C en ce moment).

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L'automne approche à grands pas !

Ça me fait penser à une pub que j’ai vu récemment : une fille marche tranquillement dans la rue et se met à pousser un cri d’effroi (avec la moue qui va avec) et part en courant. Elle a vu une feuille morte au sol. J’ai bien aimé le concept, c’est drôle, même si ça ne m’a pas fait retenir pour quel produit c’était… puis ça change un peu des pubs autours des J.O (personnellement j’en peux plus).

La couverture de l’Université du Nouveau Monde n’a pas été trop mauvaise dans les médias traditionnels :

Depuis ma participation à l’Université du Nouveau Monde, j’ai pris conscience de la “petitesse” de la profession médicale. Ça ne me semble finalement pas si important, ou disons pas si utile, dans le monde. M’enfin, il faut être humble, et chacun son domaine d’intérêt - puisque c’est là que je trouve mon bonheur.

L’UNM m’a vraiment encouragée à continuer de m’impliquer comme je peux pour ce qui me tient à coeur. Personnellement, cela me parle en particulier du projet que j’ai conçu d’aller en Afrique, l’été prochain, pour aider. Ce n’est pas si facile que cela à organiser ! Je veux y aller pour oeuvrer en santé, tout en n’étant pas encore diplômée dans ce domaine. Avec ces critères, il reste bien peu de programmes (Jeunesse Canada Monde, Québec sans frontières, Médecins sans frontières - niet) auxquels je puisse me joindre ! En fait, il n’en reste pratiquement pas.

Je tâte actuellement la piste de deux projets “privés”, pas spécialement “faits pour” ni “encadrés” ou “subventionnés” pour moi - un centre de santé au Togo, et un autre au Gabon (avec l’Unité de Santé Internationale de l’Université de Montréal). J’ai d’ailleurs rencontré aujourd’hui les responsables pour le Gabon, qui m’ont appris qu’avec eux je serais logée sur place gratuitement (cool) ; par contre, ils refusent qu’un étudiant fasse quoi que ce soit de médical, il faudrait donc se contenter de tâches connexes. Pas sûre que ça me tente !

Il n’y a que l’organisme d’initiation à la coopération internationale Mer et Monde qui me puisse me convenir à part ça, et on peut dire que je suis devenue une spécialiste de tous les programmes du genre qui existent et pour lesquels je ne réponds pas aux critères. Il faut payer soi-même au complet son projet avec eux aussi. Le projet auquel je me joindrais se situe au Sénégal et serait bien encadré (par l’organisation), donc rassurant, en plus de comprendre des tâches médicales. Mes hésitations ? Le Sénégal va-t-il trop bien en fait, tout touristique qu’il est, pour avoir besoin d’une telle aide ? Sans oublier que Mer et Monde charge 25 $ par jour pour l’encadrement, le logement et l’alimentation sur place, et qu’ils exigent qu’on assiste à une formation préparatoire fort exigeante (au vu de mes années scolaires très chargées) et même coûteuse.


Parlant d’Afrique et d’aide humanitaire, j’ai retrouvé récemment dans ma bibliothèque deux livres achetés en 1998, alors que je n’avais encore que 15 ans. Il s’agit de 1001 projets autour du monde, un guide s’adressant aux Canadiens, et du guide du routard de l’expat (s’adressant plutôt aux Français expatriés dans le monde, mais quand même utile en général). Comme quoi, ya des idées qui germaient dans ma tête depuis longtemps…

Whenever one finds himself inclined to bitterness, it is a sign of emotional failure. (Bertrand Russell)

I have a simple philosophy. Fill what’s empty. Empty what’s full. And scratch where it itches. (Alice Roosevelt Longworth)

It has been my experience that folks who have no vices have very few virtues. (Abraham Lincoln)