Au risque de complètement me ridiculiser, j’ai envie de participer au sujet de miniature de Taian Akita Blog du 7 avril, même si c’est déjà passé. C’est que j’aimais bien ce sujet alors que celui qui serait plus actuel me plaît moins. Alors un petit recensement de ces premières impressions. Je précise que je ne suis pas fan des premières fois : ça m’angoisse en général et je me sens plus en contrôle de moi et de la situation les fois suivantes ;)

  • La première fois où je suis allée en garderie (à ma demande, vu qu’ils y allaient dans Passe-Partout !), ma maman m’y a déposée, ainsi que mon frère. Il y avait là un autre enfant qui devait avoir subi de graves brûlures dans sa vie et dont l’aspect de la peau était en conséquence. J’avais demandé à ma mère pourquoi ce petit garçon avait de la pâte à modeler partout…

  • La première fois où je suis allée à la maternelle, il faisait grand soleil et je ne voulais pas. Je crois bien avoir fait une crise de larmes et de colère. J’en ai fait une (de plusieurs jours à chaque fois) à toutes les rentrées pendant plusieurs années. Maintenant je ne fais plus ça, mais je n’aime toujours pas l’école. C’est sûrement pour ça que j’ai choisi un des plus longs programmes d’études à l’université : pour conjurer le démon.

  • La première fois que j’ai pris l’avion, c’était pour aller à Mississauga, j’étais seule. J’écoutais la musique de Savage Garden avec un brin de nostalgie et je rêvais de voyages futurs. La course Destination Monde m’attirait alors beaucoup. Heureusement que ça n’existe plus, sinon j’aurais beaucoup trop de projets maintenant !

  • La première fois où je suis allée en France, c’était l’été suivant. La vision des campagnes françaises depuis mon hublot m’a littéralement serré le coeur ! C’est Xorph, qui avait été un ami très proche sur Internet, qui m’a d’abord accueillie à l’aéroport. Le jour même, je prenais le train et je rencontrais Hoëdic dans la vallée de la Loire. S’en est donc suivie la première nuit près de celui qui devait prendre tant d’importance dans ma vie (je ne m’en doutais pas encore !). J’étais crevée de fatigue par ce tour du cadran plus que complet. Il paraît qu’il m’a observée dans mon sommeil, cette nuit-là.

  • Mon premier (vrai) baiser m’a été donné par mon premier amoureux (un autre). J’ai trouvé que ça goûtait mauvais, que c’était trop long et que c’était assez envahissant. En fait, j’ai appris par la suite que ce ne sont pas les baisers qui goûtent mauvais, c’était ce garçon. Hoëdic goûte très bon, lui !

  • Pour mon premier emploi, j’avais décidé d’être rebelle et de prendre quelque chose de loin de chez moi, qui se passait principalement en extérieur et nécessitait surtout des capacités physiques. Évidemment, c’était assez mal assorti à ce que je suis en réalité, et ça m’a déplu de jouer l’homme et de côtoyer uniquement des hommes tout l’été !

  • Mon premier jour de vie à Paris est un moment gravé dans ma mémoire. Je me souviens de m’être fait malencontreusement tripoter les seins dans la ruelle attenante à notre immeuble, ce qui devait présager des quelques agressions et nombreuses frayeurs que j’ai eues dans l’année (les autres événements relevant plutôt de pick-pockets, mais tout de même !). Je me souviens aussi m’être allongée sur notre lit, épuisée et la tête remplie de soucis de visas (du genre : “Vous ne pouvez pas avoir la carte de séjour sans l’attestation de prise en charge de la Sécu, mademoiselle !” Et à la Sécu : “Nous ne délivrons pas d’attestion de prise en charge sans carte de séjour, mademoiselle !”). Je me suis plus ou moins assoupie et au réveil, j’ai mis longtemps à replacer ces poutres au plafond et ce lieu étrange où je me trouvais. C’était mon premier appart. Celui d’Hoëdic aussi.

  • Ma première journée en médecine fut rocambolesque. Je devais voyager de Repentigny, mon appartement n’étant libre que le 1er septembre et la rentrée ayant lieu en août. Avec ma mère, nous étions parties tôt pour éviter le trafic et nous avons pris le petit déjeûner dans un Nickels. Nous nous sommes mérité une amende de 130 $ pour un mauvais stationnement. Ça commence mal…

  • La première fois où j’ai assisté à une autopsie (c’était celle d’un foetus de 22 semaines), j’ai fait un choc vagal. J’en avais aussi fait avant dans diverses circonstances (perçage d’oreilles, cours de premiers soins, prises de sang, etc.) et j’en ai refait par la suite. Entre autres cet automne, à l’hôpital, devant un polytraumatisé avec plein d’hématomes… Je viens d’ailleurs de m’auto-diagnostiquer une phobie de type sang-injection-accidents, c’est pratique en médecine, non ? Heureusement qu’une phobie diminue avec l’exposition. C’est ainsi que je me sentais faible au début quand je devais opérer et euthanasier des rats l’été dernier ; puis, ça s’est tassé.

  • La première fois, quelques jours après mes 20 ans, où j’ai assisté à une naissance, c’était une césarienne d’urgence en salle d’op (le sang coulait à flot…) qui a mené à la naissance de deux beaux jumeaux. Quand j’ai entendu le premier bébé pousser son premier cri, j’ai pleuré à chaudes larmes et mes jambes on vascillé. Ce n’était pas un choc vagal.

I never did a day’s work in my life, it was all fun. (Thomas Alva Edison)

Politicians are the same all over. They promise to build bridges, even where there are no rivers. (Nikita Khrushchev)

A man who wants to lead the orchestra must turn his back on the crowd. (James Crook)

**83. *Loi du premier domicile*.** Il appartient aux juges du fond de déterminer souverainement, d'après les circonstances concomitantes ou postérieures au mariage, et en tenant compte notamment du premier domicile des époux après la célébration de leur union, le lieu où les époux ont eu, lors du mariage, la volonté de localiser leurs intérêt pécuniaires et dont la loi régira ces intérêts.

23ème page, 5ème page, le principe

  • Prendre le livre le plus proche.
  • Ouvrir le livre à la page 23.
  • Trouver la cinquième phrase.
  • Ecrire le texte sur votre journal ainsi que ces instructions.

Il se trouve que le livre le plus proche était le Dalloz du Code civil édition 2001. En fait y avait un Bécherelle de l’art conjuguer plus proche mais j’ai pas vraiment de phrase :p

Le rythme des choses s’accélère dans mon séjour en France et bien entendu le rythme de blogage diminue d’autant !

La première journée bien remplie fut celle de lundi avec de nombreux trajets pour aller voi ma mère en voiture, aller chercher la voiture puis la redéposer, redéposer les clés ailleurs, passer prendre d’autres clés à un autre endroit, le tout en évitant soigneusement d’être sur le périf aux mauvaises heures en ce jour de retour de week end prolongé, bref, un effort de logisitique prononcé.

Malgré quelques doutes sur le timing, j’ai pu rencontré à l’heure le capitaine… d’ailleurs je me suis même permis de marcher de Saint-Lazard Lazare au Hall’s Beer Brewery (j’ai enfin vu où se passe le Paris Carnet) histoire de prendre des photos… ça a même failli me valloir des ennuis car j’ai photographié une demi-douzaine de flics en train de s’acharner sur deux gars (et ça se menaçait de régler ça au poing le soir à minuit à tel ou tel endroit). Malgré toutes les précautions prises un flic m’a vu prendre le cliché et a voulu me faire venir. J’ai fait semblant de continuer à prendre des photos comme un bon touriste en ne me retournant pas lorsqu’il m’a appelé. Finalement il a laissé faire.

Quant au capitaine, ma foi, il est bien loin d’une hystérique pleine aux as qui a ses regles comme certains veulent bien le dire. Fait cocasse, une femme attablée à coté de nous m’a entendu “traiter” mon interlocuteur de ce qualificatif et a vraiment fait des yeux ronds… y a de quoi :) Québec, navigation, blogosphère, couples transatlantiques, les sujets de conversation étaient nombreux ! A la suite de quoi j’ai pu m’adonner à mon sport favori à savoir la promenade nocturne dans Paris, ça me manquait. Malheureusement vous ne pourrez pas profiter des photos que j’ai pris car je ne peux accéder à mes photos pour l’heure.


Le lendemain commençait la seconde phase de mon voyage avec pour destination Nantes où je suis arrivé pour midi, juste pour manger avec Leeloolene que je n’avais pas vu depuis si longtemps ! Mon séjour à Nantes commençait bien… mais ça ne s’est pas prolongé, ça a même viré à la catastrophe ! En arrivant à la maison, abandonnée depuis un mois, pas d’électricité. J’avance un peu et j’aperçois une longue trainée rouge sur le carrelage de la cuisine… oops. J’escalade les voitures dans le garage pour accéder au disjoncteur, je l’enclenche, il se redéclenche immédiatement. Mon sens inné de la logique me dit que le frigo ou le congel doivent être en cause, je les débranche donc et l’électricité accepte de reprendre.

Je fais aussi le nécessaire pour relancer la chaudière et… re-oops, elle ne démarre pas ! Pas de chauffage, pas d’eau chaude, la guigne. J’appuie sur tout ce qui bouge, je joue avec le thermostat, je mets de l’eau chaude à couler, rien n’y fait. J’essaie d’appeler notre service de dépannage mais c’est déjà la fin d’après-midi et ils ne répondent pas, il va falloir passer la nuit dans une maison à 10°C.

En attendant, je me décide à m’attaquer au contenu du congélateur (le frigo ayant été vidé) et là… eurk. Une odeur fétide s’empare de la cuisine dès que j’ouvre la porte. Ce congélateur indépendant de la taille d’un réfrigérateur normal est plein, les moisissures ont tout envahi y compris les parois, ça va pas être du gateau.

Au début je commence à prendre ça par le bout des doigts avec le dégout qui sied à cette opération. Je décide finalement à ne pas me comporter comme une fillette et saisir pleinement ces tas flaques pour ne pas en reverser à coté du sac poubelle. L’élément suivant est un tupperware que j’ouvre pour mettre le contenu à la poubelle… qu’il n’a jamais atteint. A peine ouvert, une odeur putride a envahie mes narines provoquant immédiatement un réflexe de vomissement. Heureusement, je n’avais rien de frais dans l’estomac. Plié en deux par les abdos qui veulent éjeter de moi tout ce qui pourrait l’être, je cours vers le dehors par la porte-fenêtre préalablement ouverte pour reprendre mon souffle et jette dans l’élan le contenu du tupperware dans le ruisseau passant derrière la maison.

L’horreur ! Finalement, ayant passé tout mon courage pour finir de vider le congélateur, je ne me suis pas occupé de la nettoyer, remettant ça à plus tard et devant partir retrouver une fois de plus Leeloo (qui est en fait ma maîtresse, mais chut) pour se gaver de raclette au resto. A mon retour, vers une heure du matin, c’est avec un grand plaisir que je me suis glissé dans un lit à 10°C et humide.


Ce matin, j’ai finalement réussi à avoir un rendez-vous pour la chaudière, mais pas avant vendredi (initialement c’était il me proposaient le mardi d’après mais j’ai un peu crisé). A la suite de quoi j’ai pu rendre visite à la petite famille a savoir ma cousine dont la fille de maintenant 6 ans est tellement mignonne :p (oui mon amour, une gamine comme ça, j’en veux bien).

De retour j’ai voulu m’en prendre à la pelouse, excessivement haute, que ma mère ne sera pas en mesure de tondre à son retour. Manque de bol, la tondeuse ne fonctionne pas. Finalement je me suis tapé le plus haut avec un fil rotatif, je ne sais pas encore ce que je vais faire avec le reste. Tanné, j’ai pris la voiture direction Laval, où je suis actuellement, pour voir un bon ami de ma promo d’école d’ingé.

Une chose me semble de plus en plus évidente : ma mère n’a pas les ressources, physiques et financières, pour entretenir une grande maison comme la notre. Ce n’est pas le fruit du hasard si tout déconne dans la maison, si la voiture est capricieuse et si la tondeuse ne marche pas. C’est qu’elle ne veut pas y mettre d’argent tant que cette foutue procédure de divorce qui dure depuis 8 ans n’est pas finie. Je n’avais pas vu l’ampleur de la chose mais là ça prend vraiment des proportions énormes et je ne vois pas comment elle peut rester dans une telle situation. C’est triste d’avoir gardé ça pour la fin de mon séjour car ça va vraisemblablement produire une engueulade, mais je suis persuadé qu’il faut qu’elle change son approche des choses sinon elle va droit à la catastrophe !

Bien entendu, tout ceci n’est pas sans provoquer des remords car si j’étais en France, je pourrais l’aider facilement et si je gagnais de l’argent à hauteur de ce que font mes amis de promotion, je pourrais au moins l’amener à entretenir correctement ce qui doit l’être. C’est là qu’on passe par surprise du moment où les parents doivent s’occuper des enfants à la situation inverse.

J’ai acheté quelques plantes toutes en fleurs ce week-end, que j’ai bien essayé de photographier avec mon Kodak EZ200, mais sans grand succès. Le gardénia s’est mis à flétrir à la vitesse de la lumière et j’ai cru que j’avais jeté mon argent par la fenêtre en faisant son acquisition. Et puis non finalement, il avait seulement très soif et maintenant que je l’ai désaltéré, il revit. C’est bien l’époque des résurrections, non ?

Parlant de résurrection, la semaine dernière je suis allée à Albert-Prévost, le pavillon psychiatrique de Sacré-Coeur. J’ai vu un malade souffrant de maladie bipolaire en phase maniaque. C’est très impressionant. Il n’y a pas de mot à mettre sur la sensation de malaise qu’on éprouve devant de tels patients. Devant leur langage, la forme et le contenu de leur pensée. On en voit régulièrement, dans la rue, des itinérants souffrant de maladie mentale (1/3 des itinérants seraient schizophrènes), sauf qu’en général quand ils s’adressent à nous, on se contente de baisser le regard et d’accélérer le pas. C’est tout autre chose quand on entre dans une relation de soin. Tout ça pour dire que celui-là se prenait pour Jésus. Et je ne brise aucun secret professionnel en écrivant ça ici, car c’est même plutôt fréquent. Si Jésus était né 2000 ans plus tard, on l’aurait simplement interné avec ce patient aux soins intensifs (la section verrouillée à cause du risque élevé de fugue, là où les malades sont retenus contre leur gré) d’Albert-Prévost.

Toujours dans la psychiatrie, plus le temps passe et plus la liste de mes auto-diagnostiques rallonge. Anxiété de séparation, trouble somatoforme, trouble de l’alimentation, et j’en oublie sûrement… En tout cas, un cours comme ça, c’est fameux pour mieux se connaître !


Crapaud se remet tranquillement de son “rhume” (et moi du mien - un par mois, je disais…), il lui reste encore quelques symptômes résiduels de toux, sans plus. C’est notre autre chatte, la siamoise, qui s’y met maintenant, apathie, éternuements, hypersécrétion - toujours la même histoire. N’y aurait-il pas là un petit aspect de somatisation, devant l’absence de son grand maître adoré ?

J’en ai profité pour accrocher un véto dans ma classe aujourd’hui et lui demander ce qu’il en pense. Il dit que des genres de “rhumes”, ça existe aussi chez les chats. Ça pourrait même être un “herpès”, qui se réactiverait régulièrement en période de stress. Il m’a suggéré de consulter un véto seulement si l’état est vraiment mauvais, que les sécrétions sont purulentes ou que le chat ne mange plus, en quel cas il est possible qu’il lui faille des antibiotiques. Pour l’instant, je dirais que ce n’est pas nécessaire, alors je vais économiser mon argent !


J’ai appris par le bouche-à-oreille familial que ma tante était à la recherche d’un tutorat pour mon jeune cousin, Philippe, âgé de 12 ans. Philippe est anglophone, mais il a fréquenté pendant tout son primaire un programme d’immersion. Il est maintenant en 6e année. Il rentre à Loyola School l’an prochain et aimerait bien être admis (sur la base d’un examen, en mai) dans la classe qui a le programme de français le plus élaboré. Malheureusement, son niveau dans cette langue difficile bat un peu de l’aile et aurait besoin d’être renforcé. Alors je me suis proposée. Après tout, j’ai un peu d’expérience en la matière, et j’aimerais bien me rapprocher un peu de cette branche de ma famille ! On commence lundi prochain.


Dans un autre ordre d’idées, je viens de recevoir la réponse de l’organisme subventionnaire à qui j’ai demandé une bourse de recherche pour l’été. Je suis très contente, parce que je l’ai obtenue ! À moi, donc, les pipettes de biologie moléculaire, les beaux labos tout neufs de l’hôpital Notre-Dame et l’ambiance cordiale et chaleureuse de l’équipe de ma directrice de recherche. Peut-être même une publication en bout de ligne, m’a-t-elle fait miroiter !


Il paraît que mon frère a grandement apprécié ma présence pendant le long week-end. Ça lui change de son univers un peu fermé seul avec notre mère, et de sa petite routine (surtout depuis qu’il ne va même plus au cégep)… En tout cas, à force de prendre le temps de discuter avec lui, depuis quelques semaines, je pense que nous n’avons jamais été aussi proches ! J’ai aussi l’impression d’avoir un certain ascendant sur lui (au sens où il m’écoute quand je parle, même si je dis la même chose que ce que notre mère lui dit tout le temps) et une certaine crédibilité, alors ça implique de ne pas raconter n’importe quoi. Je suis même allée rencontrer sa psychologue lundi, pour lui dire que je suis prête à m’impliquer dans sa thérapie, et de ne pas hésiter à faire appel à moi. Pour le moment, elle m’a seulement suggéré de penser à faire des sorties avec lui (Leeloolène aussi m’avait suggéré cela). Alors on va peut-être aller au ciné, demain : Eternal Sunshine of the Spotless Mind.


Avec l’argent de mon été, il se peut que je songe à remplacer mon ordi en faveur d’un portable, ce qui, par ricochet, permettrait à ma mère de jeter son vieux Pentium 120 (que j’ai failli balancer par la fenêtre à plusieurs reprises pendant le week-end). Évidemment, c’est là que se pose la sempiternelle question : “devrais-je faire le saut vers un Mac” ? Et c’est toujours la même hésitation qui me répond : oui, c’est gentil, ça fait rebelle, c’est peut-être plus stable. Mais… n’est-ce pas un peu frustrant de ne pas pouvoir faire tout ce qu’on veut à cause de ça ? De savoir que certaines applications, que plusieurs logiciels ne manqueront pas de ne pas fonctionner (en particulier des logiciels de médecine) ? Est-ce que cela poserait problème à Hoedic, pour notre réseau local ou pour autre chose ? N’en ai-je pas davantage pour mon argent avec autre chose qu’un Mac ?

Dans le même genre d’investissement, je me demande s’il ne serait pas incroyablement pratique et souhaitable dans notre vie de prendre un abonnement avec Communauto, histoire de se sentir plus libre et de pouvoir bénéficier d’une voiture à l’occasion, pour pas trop cher. Quelqu’un a déjà testé ou connaîtrait-il quelqu’un qui a testé ? (Personnellement ça fait déjà deux avis assez positifs qui me parviennent…) Quels sont les risques qu’une telle entreprise fasse faillite du jour au lendemain en engouffrant notre capital ? En fait, ce sera à rediscuter avec Hoedic à son retour !

Que de questions terre-à-terre…


Bon, c’est pas tout ça, mais j’ai encore fait des heures d’insomnie la nuit dernière, alors je suis fatiguée maintenant…