On ne cesse de se marier dans mon entourage. C’est difficile de rester impassible devant cette avalanche de nouvelles. C’est un geste tellement sérieux, finalement, que de se marier. (Et à la fois tellement frivole, si on en juge par le nombre de divorces…)

Derrière la problématique (en est-ce vraiment une ?) du mariage homosexuel, il reste la question du mariage tout court.

Pourquoi se marie-t-on encore de nos jours ? Évidemment, je pose la question d’un point de vue idéologique, et non religieux ou pratique (raisons d’immigration, de fiscalité ou autres).

Personnellement, je crois bien avoir envie de me marier un jour. En même temps, le mariage ne changera rien de très concret dans ma vie, à part les rapports d’impôt et le vocabulaire, éventuellement. Quelques dollars et quelques mots ne sont pas une raison suffisante pour commettre un geste aussi lourd de signification, même en dehors de tout contexte religieux.

Alors je suppose que c’est un désir plus profond, quelque chose comme de signifier socialement mon engagement à quelqu’un (je vous laisse deviner qui…). Un désir qui s’enracine peut-être dans mon éducation et la société dans laquelle j’ai été élevée. Un désir de faire mentir les statistiques. Un désir qui fait que, malgré le peu d’ajouts réels que cela aurait, je sens que cela manquerait de ne pas concrétiser mon amour dans mon milieu de vie, avec ses normes. Une sorte d’insatisfaction à l’idée de me contenter perpétuellement d’un statut aussi désinvolte que celui d’union libre ou de conjoint de fait. Une croyance sourde dans l’amour, dans l’avenir et dans le soutien mutuel. Une habitude de vie basée sur le tout ou rien, sans compromis, et qui me porte à vouloir me donner complètement.

Et vous, pourquoi vous êtes-vous marié(e)s/souhaiteriez-vous vous marier, ou non ?

Love your neighbors, but don’t pull down the fence. (Chinese proverb)

Make things as simple as possible, but no simpler. (Albert Einstein)

Never tell people how to do things. Tell them what to do, and they will suprise you with their ingenuity. (General George S Patton, Jr.)

C’est ma 5e “petite maladie hivernale” depuis novembre. C’est la même moyenne - une par mois - qui est considérée comme normale pour les bambins qui fréquentent la garderie et qui n’ont pas encore trop trop développé leur système immunitaire.

Je m’apprêtais, le week-end dernier, à m’extasier devant le fait que je n’ai pas eu de vraie grosse saloperie cette année, tout de même : rien que des petits rhumes normaux (et un pied-main-bouche).

À force d’attraper toujours des bibittes très vilaines les années précédentes, j’en étais venue à me demander si ce n’était pas moi qui était bien douillette et geignarde. Les autres, quand ils ont le rhume, ils n’ont pas l’air de souffrir tellement, ils n’ont même pas besoin de s’en plaindre. Pourquoi est-ce que chez moi, c’est aussi pénible et ça dure un mois à chaque fois ?

Réponse : c’étaient sûrement pas des simples petits rhumes. La preuve, j’en ai eu cette année, des simples petits rhumes d’une semaine, et je confirme que ce n’est vraiment presque rien !

Par contre, là, je me demande un peu ce que j’ai chopé. Je ne pense pas que je serai guérie en une semaine. J’ai commencé en force avec de la fièvre, et maintenant je tousse. En général, c’est là que ça commence à s’éterniser…

Sans oublier qu’en plus des microbes, je suis devenue allergique à l’environnement, et que j’ai été techniquement “malade” d’août à octobre dernier (sinusite comprise). Quand est-ce que ça va recommencer tout ça, dans un mois ?

Bouh…

It is neither wealth nor splendor, but tranquility and occupation, that gives happiness. (Thomas Jefferson)

Just the omission of Jane Austen’s books alone would make a fairly good library out of a library that hadn’t a book in it. (Mark Twain)

It is well to remember that the entire universe, with one trifling exception, is composed of others. (John Andrew Holmes)

Avec un autre maudit Français, nous allons, peut-être, hériter d’un contrat pour faire le site Internet d’une PME (et on vise aussi le site d’une plus que PME, leur site existe déjà mais… il est moche -enfin, y a matière à amélioration). Bon, je sais c’est pas mon boulot webdesigntruc, tout ça, tout ça, mais ça nous dépannerait bien… puis j’aime bien faire des sites Internet… puis je n’hésite pas à dire que je me débrouille mieux que pas mal de travailleurs autonomes dont c’est, soi-disant, la formation (j’en ai vu à l’action, je sais de quoi je parle).

Enfin bref, c’est pas le sujet. Voilà, commençant à réfléchir au design qu’on pourrait proposé et même plus généralement à l’approche à privilégier, j’ai décidé de télécharger Netscape 4.7 car paraît-il qu’il y a encore des gens pour l’utiliser et je me suis dit qu’un site d’entreprise devait être regardable (et pas trop moche) par tout le monde (y a rien qui m’agace plus qu’un message qui me dit que je ne peux pas regarder un site parce que je suis sous autre chose qu’IE, grrr).

J’installe Netscape, et je vais voir notre site, et là “AAAAAAAAAAAAAAHHHHhhhhhh !”, c’est tout gris, plus de mise en page, plus rien. Effectivement Netscape éprouve certaines difficultés avec le CSS.

Bon, mais alors, comment qu’on fait ? Est-ce qu’on prend en compte Netscape 4.x pour faire notre truc ? Et peut-on espérer faire quelque chose en CSS qui a du sens avec Netscape ?

Malgré tout j’ai trouvé des pages avec du CSS qui n’étaient pas toutes grises, celle de Karl par exemple, mais la mise en page n’est plus trop au rendez-vous. Pour les sites professionnels, nombreux sont ceux qui n’utilisent pas de CSS ni même de version HTML claire, mais ils sont généralement correctement affichés. Mentions spéciales à Libé et Le Monde qui ne s’ouvrent pas !

Visiblement l’incorporation du fichier .css avec un @import fonctionne très mal (d’ailleurs, je me demande encore pourquoi j’ai fait comme ça !), mais c’est le support css qui est plus généralement en cause.

Alors on fait quoi ? On s’essaie avec un CSS “light”, on ignore les utilisateur Netscape 4.7 ou on laisse le client choisir (solution un peu facile :p) ?