*Il suffit d’un baiser
Pour apprendre l’amour
Et d’un cil abaissé
Pour connaître la nuit
[…]
Et de sable mouillé
Pour à jamais découvrir
Les industries de la mer
À effacer les pas.*
Demeure le secret (Max-Pol Fouchet)
*Il suffit d’un baiser
Pour apprendre l’amour
Et d’un cil abaissé
Pour connaître la nuit
[…]
Et de sable mouillé
Pour à jamais découvrir
Les industries de la mer
À effacer les pas.*
Demeure le secret (Max-Pol Fouchet)
J’aimerais bien avoir un enfant avec Hoëdic.
Ce n’est pas trop dur, de crier ça sur tous les toits sans pudeur, quand ça n’engage à rien… Car avant que ce soit matériellement possible (i.e. que je finisse mes interminables études), beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts. Et puis, il faut aussi que l’on “soit prêts”.
N’empêche, j’aimerais bien…
Le dernier billet (un peu triste) de Laurent m’a fait réfléchir sur le pourquoi de mon carnet. Je reviendrai plus tard sur le résultat de cette réflexion (ou peut-être pas, comme de nombreux messages que j’oublie de publier), mais l’un des éléments initiaux est d’avoir l’équivalent d’un journal que je puisse feuilleter, le cas échéant, d’ici quelques années et pouvoir ainsi me souvenir, me rappeler de mes pensées, de mes actes et du cours du temps, du contexte extérieur et propre à moi-même dans lequel je vivais.
Cette réflexion est venue se mélanger avec la lecture d’un article très intéressant proposé par Édouard et en venir à la réflexion suivante : une grande partie de l’intérêt futur d’un carnet est de pouvoir “revivre” une époque passée, se rappeler des enjeux de l’époque, etc. Or dans un carnet, une partie de ces enjeux passent par les pages, les articles liés dans nos billets, articles qui auront sans nul doute disparus, seront devenus inaccessibles d’ici quelques années (fermetures de site, relocalisation, etc) et les liens ne pointeront donc sur rien, faisant ainsi perdre une partie de l’intérêt historique de la chose (quand je parle d’intérêt historique, c’est un intérêt personnel et non un intérêt aux yeux de l’Histoire de l’Humanité…)
Je me demandais donc s’il ne serait pas intéressant d’ajouter un module à mon gestionnaire de contenu (à savoir spip) pour sauvegarder (localement) les articles qui m’intéressent et les rendre ainsi accessibles même si l’information source vient à disparaître. Je me dis que je ne suis sûrement pas seul à m’être posé ce genre de question, donc peut-être existe-t-il des solutions ou peut-être des personnes ont-elles trouvé que ce n’était pas réalisable ou pertinent. Je vais bien voir ce que je trouve sur le sujet.
Toujours est-il que le temps va me manquer à court-terme pour faire ça, mais je me dis que ça pourrait être utile, en tous cas pour moi.
J’ai connu de meilleures semaines que celle qui vient de s’écouler…
Galère dans les transports [moi aussi, je n’ai pas manqué d’être coincée, mardi soir, sur la ligne orange, alors que le métro devait fonctionner mais qu’un déprimé a eu la bonne idée de se jeter devant], temps pourri nantesque pour courailler la ville au grand complet en dehors des heures de pointe mercredi, gros lumbago de ma maman, déprime de mon Hoëdic, rhume et fièvre de moi-même pour mon examen…
Les paris sont lancés. Mon rhume va durer combien de temps cette fois-ci : un mois, deux mois, six mois ? Va-t-il se transformer en sinusite, en bronchite ou en pneumonie atypique ? Voilà ce que ça donne, de fréquenter les hôpitaux et les enfants en bas âge : le meilleur des deux mondes…
Témoignage touchant de zerotom, sur le travail au Québec en tant qu’immigrante. Impression de déjà vu et de parallèles à faire avec mon Hoëdic…
Jouons avec les mots chez Sucré Salé, tout en musique.