Je viens de finir Hygiène de l’assassin, et on peut dire qu’elle est assez tarée la petite Amélie.
Hoëdic trouve que dans ce bouquin, on ressent indistinctement certains signes de son contact avec la culture japonaise : elle semble attribuer à ses personnages des complexes comme les poils, la barbe ou les odeurs…
En tout cas, pour avoir aussi lu il y a quelque temps Métaphysique des tubes, je vous conseille plus que vivement cette auteure, si vous ne la connaissez déjà. Sans faire des chefs-d’oeuvre, elle écrit bien et a des idées et des réflexions… pour le moins originales !
Un seul fait étrange : elle publie comme un métronome, à chaque rentrée, et on peut en venir à se demander si, à force, l’appât du gain ne surpasse pas le plaisir d’écrire. Si, parfois, certains livres n’auraient pas bénéficié d’être triturés un peu plus longuement…