Aujourd’hui, même si c’est un lundi et qu’il pleut, c’est l’anniversaire d’Hoedic, donc c’est forcément un grand jour ! Et le mois de mai, c’est quand même le plus beau mois de l’année… (À l’époque, c’était même lundi de Pentecôte, mais pas aujourd’hui…)

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15 mai

Je suis certaine qu’une petite attention de votre part lui ferait énormément plaisir, alors hop, au clavier à commentaires :)

Mon amour, mon homme de ma vie, mon mari… je te souhaite une très belle journée du 15 mai. Bon anniversaire et que cette nouvelle année d’âge soit encore pleine de rebondissements plaisants !

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15 mai

J’espère aussi que ton petit cadeau arrivera bientôt !

Bisous et à ce soir :)

L’Institut national de l’audiovisuel a fait un gros travail en proposant sur Internet près de 100.000 émissions télévisées “historiques”. Les quelques jours qui suivirent la mise en ligne de toutes ces archives, le service était inaccessible, débordé par le succès de cette initiative.

Parmi les services à thème, la possibilité de trouver le journal télévisé de votre jour de naissance (pour les jeunes, puisque ça commence vers la fin des années 70/début 80). C’est ainsi que j’ai trouvé le journal de 20 heures d’Antenne2 de mon jour de naissance.

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PPDA en 1978

Rien d’exceptionnel pour célébrer mon arrivée dans ce monde… mais c’était un lundi de pentecote ;)

Quoiqu’il en soit, une très bonne idée de la part de l’INA !

(Pour en avoir regardé quelques-uns, j’ai la drôle d’impression que les journaux télévisés de l’époque étaient plus sérieux et traitaient des sujets plus en profondeur)

Ce n’est un secret pour personne : j’adore les enfants. C’est donc sans surprise que vous apprendrez que mon stage de pédiatrie me plaît particulièrement. Mon premier coup de coeur de l’externat, même ; je commençais à me demander si j’en aurais un un jour, ou si j’étais condamnée à ne ressentir mollement que des sentiments neutres ou négatifs dans la profession que j’ai pourtant choisie. (Il faut dire qu’être externe, c’est-à-dire une sous-merde carrément exploitée, ça n’aide pas, mais c’est une autre histoire…)

Bref, j’adore la pédiatrie. Et donc, cela fait plusieurs semaines que tous les jours, du matin au soir, je pèse et soupèse le dilemme qui est maintenant le mien.

Est-ce que je veux faire cette résidence-là, oui ou non ? Pour rappel, au début de cette année, j’avais eu une longue discussion avec une résidente en pédiatrie à Sainte-Juju. Qui m’avait expliqué à quel point cet hôpital en est un qui demande beaucoup de chacun, trop même. Il ne faut pas compter les heures, ne jamais hésiter à en faire plus. Et des présentations powerpoint par-ci, et des projets de recherche par-là, en plus des activités cliniques, des gardes trop fréquentes et trop chargées. C’est pas compliqué, si tu refuses un projet de recherche, ton patron te fait la gueule pendant 6 mois après. Je ne vous raconte pas comment ils ont pris son congé de maternité…

J’en avais conclu que peu importe comment j’allais trouver mon stage, je ne devais en aucun cas ne serait-ce qu’envisager de faire cette résidence. Je n’ai pas du tout la personnalité voulue. Les journées infinies, le temps jamais compté, les plus petits détails des maladies les plus rares à savoir… Il faut vraiment être “bonne poire” pour tout accepter sans jamais se fâcher. Moi, j’aime que mes journées aient une fin, parce que j’aime avoir une vie à côté. Et j’ai besoin de pas mal de sommeil en plus.

Mais voilà, c’est vraiment le domaine de la médecine que je préfère. Je me débrouille bien avec les enfants, même les plus craintifs et braillards ; je mets les parents dans ma poche et en confiance, même les plus méfiants, même les immigrants qui ne parlent ni anglais ni français. J’aime le fait que ce soit une discipline très complète : la maladie, mais aussi beaucoup la normalité, la prévention, la guidance anticipatoire. J’aime m’adapter à chaque enfant, à son niveau de développement et aux caractéristiques particulières reliées à son âge. Etc, etc, etc.

Par contre, je ne suis pas prête à tout pour devenir pédiatre (contrairement à certains). Même en aimant ce que je fais, je bouillonne intérieurement de colère quand les journées sont trop longues ou que les sujets de mes présentations sont si pointus que je n’y apprends rien. Et je n’irai pas vivre 5 ans à Winnipeg ou Halifax, ni même à Québec ou à Sherbrooke, pour me former. Ce serait Sainte-Juju, ou rien. Je ne suis même pas en mode “machine de guerre”, je ne me fais pas plus remarquer que d’habitude et je ne lèche les bottes de personne. Je me sens juste un peu plus stressée et sous pression que dans des stages sans grand impact pour mon orientation. Bref, je n’ai pas du tout “la” technique, pour essayer d’entrer… dans une discpine où les places se comptent sur les doigts de la main et où les candidats potentiels pleuvent comme pendant Katrina.

Eh oui, car c’est là que le bât blesse : même en admettant que je finisse par me décider pour la pédiatrie en premier choix. Mes chances d’être acceptée sont pour ainsi dire nulles. Mon dossier est bon, mais n’a rien d’exceptionnel. Je n’ai pas de généreux bienfaiteur (C’est une image pour symboliser qu’il faut avoir des “poids lourds” prêts à vous rédiger une super lettre de référence, le moment venu.) pour appuyer ma candidature. J’ai même fait quelques faux pas dans mes choix d’options, par exemple. Et le pire, c’est que depuis quelques années, ils ne prennent plus les finissants de l’UdeM, leur préférant ceux de McGill ou d’Ottawa. Eux qui sont de vraies bêtes de compétition surentraînées (Avec l’ambiance qui va avec.) dans la course aux résidences. Eux dont le système de notation est plutôt favorisant par rapport au nôtre…

(Pourquoi y a-t-il si peu de places ? Eh bien, parce que le gouvernement trouve que les enfants devraient être suivis par des généralistes, car ça coûte bien moins cher au système !)

Et si malgré ces sombres prédictions, j’obtenais une place ? Ne serait-ce pas le début d’un long calvaire de 5 ans - ou même un peu plus (fellowship oblige) ? Avec quel genre de regard jaloux assisterais-je à la graduation des médecins de famille après seulement deux ans ? Avec quel genre de lassitude devrais-je mettre ma vie entre parenthèses, à un âge où l’on est justement si pressé et assoiffé de vivre ?

La conclusion de mon dilemme est sûrement qu’il faut savoir se limiter soi-même, réfréner son ambition (Et un peu son orgueil, car il faut dire ce qui est, les spécialistes ont plus de considération que les généralistes). Même si on en aurait peut-être les capacités et que sur bien des points, on aimerait sûrement ça. On ne peut pas toujours en faire plus, aller plus loin, travailler plus fort et plus longtemps. Ça fait du bien de s’arrêter aussi, un jour. Parce que vient un moment où il faut savoir choisir selon ses valeurs et son coeur, la vie que l’on veut mener. Et choisir, c’est aussi renoncer au reste.

Je ne sais pas encore si je mettrai la pédiatrie dans mes demandes de résidence. Mais ce que je sais, c’est que même si je ne le fais pas, ou même si on me refuse, ce ne sera pas une punition. À cause de la politique gouvernementale énoncée, il ne manquera pas d’enfants à suivre en médecine générale dans les prochaines décennies. (Ce n’est pas comme d’être refusé en anesthésie ou en radiologie, et se retrouver à ne pouvoir en faire d’aucune manière !)

N’empêche que le plus simple serait encore que le stage de gynéco-obstétrique me plaise autant que celui-ci. Ça permettrait de faire paisiblement la croix sur la pédiatrie : en médecine familiale, je pourrais aisément pratiquer dans ces deux domaines très complémentaires. Tout en vivant une résidence plus en phase avec ma vie.

À suivre…

Ad nauseam nous lisons que la globalisation progresse, que nous sommes connectés en permanence à des sources d’information mondialisées et qu’en d’autres termes un bouseux au fin fond du Gansu ne peut plus péter sans prendre le rique que la terre entière se retrouve au courant dans l’heure qui suit.

Pourtant, un débat très actuel, celui sur la gestion des droits d’auteur et du copyright, montre que les débats, les idées et l’information ont vite fait de se limiter aux étroites frontières d’un pays.

Ainsi, peu de monde, hors Canada, semble avoir remarqué la naissance de l’Alliance canadienne des créateurs de musique (j’ai passé l’info à Tristan puisqu’il me semble que personne n’avait abordé cette question), alors que c’est une initiative majeure par rapport aux prises de position des représentants de l’industrie musicale.

De même, la DADVSI n’est qu’une émanation d’une directive européenne. Comment se fait-il que personne dans ce que j’ai pu lire sur le sujet n’ai soulevé la question de l’application de cette directive ailleurs en Europe ? La France, pour changer, était l’une des dernières à s’acquitter de sa tâche et je ne peux pas croire que tous les autres pays aient institué des lois aussi rigides qu’en France.

Dans le sens inverse, les répercussions de la DADVSI à l’étranger furent aux antipodes de ce qui est était perçus de l’intérieur parce que ce sont malgré tout les medias classiques qui ont véhiculé l’information et qu’ils ont filtré que ce qui les intéressait, avec leur compréhension, forcément partielle et biaisée, des choses (surtout sur un tel sujet où les conglomérats médiatiques sont concernés). Nous sommes encore loin du village global où l’information est véhiculée d’une manière qui puisse sembler juste et efficace.

Pour revenir à la question du droit d’auteur/copyright, il est évident qu’une forme de coordination entre les partisans de l’ouverture à travers les différents pays est nécessaire puisque c’est une question évidemment globale.

Update - Partant du commentaire de Blip, j’ai un peu creusé pour voir ce qui s’est fait en Espagne et j’ai finalement trouvé deux articles qui comparent la situation dans différents pays européen :

En bout de ligne, le consommateur Français peut s’estimer heureux de ne pas vivre dans certains autres pays…

De manière plus générale, la consécration des moyens de protection est inscrite dans la directive européenne ce qui en fait un aspect incontournable et non négociable et m’amène encore une fois à m’interroger sur le fonctionnement des institutions européennes par rapport aux réalités nationales.

Eh toi, le jeune (Pour des raisons de convéniance, le mot jeune est utilisé pour désigner toute personne fut-elle pubère ou non, de sexe masculin, féminin ou indéterminé), tu ne sais pas quoi faire ? Alors vient faire du roller avec moi et mes amis !

Le Samedi 15 Juillet se déroulent les 24 heures de roller de Mourial. Durant 24 heures, des équipes cherchent à faire autant de tours du circuit Gilles Villeneuve que possible, en roller, au milieu des Formules 1 qui s'entraînent.

Avec un ami nous sommes en train de constituer une équipe avec pour objectif d’atteindre au minimum 7 personnes pour participer à cet événement dans une ambiance conviviale et feutrée et sans pour autant y laisser notre santé.

Vous pouvez vous signalez en laissant un commentaire ou en m’envoyant un courriel (petit lien “contact” en haut à droite de cette page).

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