Private Victory

  1. Be Proactive - Principles of Personal Vision
  2. Begin with the End in Mind - Principles of Personal Leadership
  3. Put first things first - Principles of Personal Management

Public Victory

  1. Think Win/Win - Principles of Interpersonal Leadership
  2. Seek First to Understand, Then to be Understood - Principles of Empathic Communication
  3. Synergize - Principles of Creative Cooperation

Renewal

  1. Sharpen the Saw - Principles of Balanced Self-Renewal

Quel magnifique ouvrage best-seller ;) Ces 7 principes m’ont toujours fait marrer, ne serait-ce que par leur tendance à sonner un peu… “pipot”.

C’est la grosse boîte de consulting où a déjà bossé Hoedic qui lui avait filé cette Bible du savoir-vivre en entreprise. Je suis contente de l’avoir retrouvée, c’est drôle. Mais je vais quand même pas le lire.

À ma grande surprise mon joujou commandé lundi aux US est arrivé hier en matinée soit environ 36 heures chrono. Le joujou ? Un Panasonic FZ-20. Le choix ne fut pas facile et je dois bien que c’est une bannière qui m’a fait l’acheter. Je voulais un modèle de type “méga-zoom” car trop souvent je suis frustré parce que je ne suis pas assez proche de ma cible. Tandis que je regardais le Minolta Z3, j’ai vu une bannière pour le FZ-20. Panasonic, ça ne me disait pas grand chose pour les appareils photo numériques mais je suis quand même aller voir les reviews. Plus je lisais, plus cet appareil semblait correspondre à ce que je cherchais : un zoom puissant avec un bon stabilisateur sur lentille, une bague pour faire la mise au point manuelle quand on le veut, une image correcte (le Z3 a la réputation d’être pas mal flou) un fonctionnement simple et rapide.

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Les photos de chats sont de retour !

Le temps assez moyen ne m’a pas permis de faire des tonnes de photos mais pour le moment je suis assez satisfait. Seul bémol que je connaissais : à 400ISO le bruit est vraiment élevé. Pour les photos avec faible luminosité ça prend un trépied surtout quand on y va avec le zoom qui malgré le stabilisateur nécessite même pas temps clair d’avoir des mains fermes !

J’en profite pour vous montrer ce que j’ai ramener en contre-bande de la France :

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Une plante à poils violets

Si quelqu’un pouvait me dire quel est le nom de cette plante, ça me ferait très plaisir. C’est une plante à laquelle je tiens beaucoup car je l’ai depuis… ouf, 1990 surement. L’avantage est qu’il suffit d’en couper un bout, de la mettre dans l’eau, et elle repart toute seule. Elle a donc voyagé dans un pot hermétique et là elle reprend des forces avant d’être transplantée dans de la terre ferme d’ici quelques jours.

Je viens tout juste de finir de dévorer L’Ultime secret de Bernard Werber (mais peut-on faire autre chose que dévorer les écrits de cet auteur ?).

Encore une fois, je me sentais particulièrement intéressée, pour ne pas dire presque concernée par le thème choisi. Cette fois, l’épopée touche le cerveau et en particulier les circuits impliqués dans les phénomènes de récompense et de dépendance aux drogues. Précisément les circuits sur lesquels je travaillais, avec mes petits rats, l’autre été.

La chirurgie stéréotaxique (i.e. avec un crâne bien immobilisé dans une position “universelle”, avec l’utilisation de coordonnées précises dans 3 dimensions afin de localiser une zone particulière du cerveau selon un atlas) telle que je la pratiquais est décrite dans le roman. De même que les rats, avec leur petit chapeau et leur électrode qui sort de la tête, servant à les brancher à une stimulation électrique plaisante qu’ils peuvent se prodiguer eux-mêmes en activant un levier.

Bon, certes, l’auteur se tape un délire fou au sujet des avancées techniques de la médecine du cerveau. Il se fait aussi un trip avec des parallèles hommes-machines incroyables et des avancées hypothétiques du monde de l’informatique. Mais comme toujours, ce sont des idées qui portent à réfléchir, qui stimulent, qui piquent la curiosité. On se sent nourri par ce type de lecture, malgré quelques tendances à la science-fiction qu’il est parfois difficile de démêler de la réalité. Car la recherche bibliographique (et sur le terrain) demeure importante pour donner un fond scientifique crédible et vrai.

Le roman est aussi pimenté d’aventures et, en fait, calqué sur le schéma de L’Odyssée d’Homère. Le concept est ingénieux et soigneusement travaillé, et l’effet final réjouit les yeux. De quoi me redonner le courage de (peut-être) lire l’histoire originale d’Ulysse !

Un très bon roman, donc, qui n’est pas sans m’évoquer certains parallèles dans le style d’écriture avec Les Trois Médecins que je lisais justement récemment.

Je sais que je me répète, mais le Québec, en hiver, c’est froid. En soi, c’est pas forcément la mort, mais quand il y a du vent c’est horrible.

À bien y réfléchir, la Ville de Montréal devrait installer des abris chauffés. Je sais que le piéton se fait rare par ces température arctiques, mais se retrouver à marcher 10 minutes sans pouvoir se protéger du vent qui donne une impression de -30 voire de -40°C, c’est dur. Pour peu qu’on ne se soit pas habillé correctement parce que, mettons, en matinée il faisait un doux -5 et que le soir il se met à faire -20 avec du vent (ça m’est arrivé), ça fait dur d’attendre le bus qui doit venir dans 20 minutes alors qu’on est au milieu de nul part.

À ces températures-ci, je ne sais pas combien de temps il faut avant de perdre une oreille, mais ça doit pas être beaucoup plus qu’un quart d’heure. Les paumettes aussi sont très sensibles au froid, bizarre non ?

Le pire reste encore Polytechnique : du fait de travaux, ils nous ont fait une jolie passerrelle pour passer au-dessus d’une rue et des travaux. Du coup on passe en hauteur, entre deux bâtiments en entonoir et à flanc de montagne. Même si partout à Montréal y a pas un pet de vent, à cet endroit il y en a. Et cette bande de salauds, aux prix que coutent les travaux, ils ne nous ont même pas protégé du vent sur cette passerrelle. C’est cheap, franchement c’est cheap !


À noter que j’ai repris la piscine et l’aikido. J’avais oublié que c’était aussi crevant le sport !

Eh ben ?

Ya du bluetooth sur mon Palm (qui siffle toujours, puisque la compagnie refuse d’honorer ma garantie… fuyez !), yen a aussi sur mon ordinateur. Et pourtant, on dirait qu’ils ne peuvent pas causer ensemble sans passer par le port USB ! À moins que quelque chose m’ait échappé.

Je suis zabazourdie.