Treat the earth well: it was not given to you by your parents, it was loaned to you by your children. We do not inherit the Earth from our Ancestors, we borrow it from our Children. We are more than the sum of our knowledge, we are the products of our imagination. (Ancient Proverb)

A jury consists of twelve persons chosen to decide who has the better lawyer. (Robert Frost)

Advertising is 85% confusion and 15% commision. (Fred Allen)

Bittorrent n’en fini pas de m’étonner ! Souhaitant mettre à jour ma distro Linux, j’ai téléchargé la version de Fedora sortie aujourd’hui même, Fedora Core 2, grâce au torrent officiel.

Quelques 2.1Go téléchargés en 1h09, mon routeur en est tout décoiffé ! C’est vraiment très intéressant comme solution. Avec des serveurs HTTP/FTP, la surcharge aurait été immédiate et il aurait fallu compter plusieurs heures (voire jours) ne serait-ce que pour commencer le téléchargement avec un taux acceptable. Avec d’autres logiciel P2P, le taux de tranferts n’aurait pas excédé quelques ko/s, nécessitant plusieurs jours de téléchargement intensif, alors que là j’étais stable à quelques 400ko/s.

Enfin c’est agréable de voir un logiciel P2P servir la “bonne cause”, à savoir permettre de pouvoir distribuer un logiciel sans pour autant nécessiter une bande passante très couteuse !

Pour ceux qui seraient intéressé par Bittorrent, je vous conseille Azureus comme client, il marche très bien et sous toutes les plateformes puisque fait en Java.

Maintenant ne vous étonnez pas si je disparais de la circulation… je ne sais pas du tout comment se passe le passage de Red Hat à Fedora donc, ma foi, la probabilité que je casse tout est élevée :)

Le capitaine nous fait l’honneur un très bon article sur sa vision des défusions québécoises (lire son article ainsi que celui-là pour comprendre la notion de défusion).

Quelques petites remarques de bon goût au passage comme celle-ci :

La route pittoresque, qui longe la côte de Lachine à Senneville, offre de magnifiques panoramas sur le grand fleuve et traverse des banlieues vertes et bourgeoises, parfois presque campagnardes, qui ne sont pas sans rappeler par instants certains havres huppés du grand Londres, avec cette touche subtile de mauvais goût architectural propre au Canada, et une pénible appétence pour le vieux rose et mille et une variations autour du café-au-lait et autres couleurs lavasses.

La suite reflète bien mon incompréhension vis-à-vis de ce processus démocratique de défusion. Si la fusion de villes a été pour le moins brutal, la défusion est à tout le moins stupide. Même si pour l’ouest de l’île de Montréal l’antagonisme franco/anglo est évident, il en est tout autrement pour la défusion de la ville de Longueuil, une banlieue de l’autre coté du fleuve, où il est évident que c’est un question de renommée : vivre à Brossard, c’est pas pareil que Longueuil.

Quoiqu’il en soit, j’ai déjà donné mon avis sur le sujet : Montréal et les grands villes québécoises ont d’autres chats à fouétter. Pour avoir travailler avec des gens de la Ville de Montréal, je sais que ces histoires de fusion/défusion bloquent bon nombre de décisions importantes à tous les niveaux depuis pas loin de 6 ans. À un moment où Montréal doit défendre sa position de métropole canadienne face à Toronto (quoique déjà largement devant) et Vancouver (qui va bénéficier de l’effet JO), il me semble que les querelles de clocher n’ont pas trop leur place.

Dans les genres que je n’ai pas adoptés depuis longtemps, il y a également la critique de restaurant !

Je recule dans le temps, jusqu’à Noël dernier, où nous étions allés manger au Béarn (dans Côte-des-Neiges) pour Noël avec la maman d’Hoedic. Le repas a été très bon, mais malgré tout je me suis sentie “déçue” en sortant. C’est toujours le même problème, à Montréal, au resto : le rapport qualité/prix. Faut voir, manger chez Tim Hortons ou chez St-Hubert, ça coûte déjà une fortune (pour ce que c’est). Alors il ne faut pas s’étonner de débourser dans un resto qui se veut “gastronomique”.

L’histoire s’est répétée pour mon anniversaire, en janvier. Repas au Gavroche. C’était “bon”. Mais bien trop cher pour ce que c’était…

Alors à Montréal, nous ne nous risquons plus dans des restos français et nous les boycottons même… Et pour célébrer en bonne et due forme l’anniversaire d’Hoedic, c’est au Shambala, gentil petit resto tibétain, que nous avons atterri. C’était bon, c’était à la fois simple et original, c’était peu cher, et donc globalement très satisfaisant ! Même si, comme souvent à Montréal, le décor “détonnait” un peu : en fait ça ressemblait (c’était, même) un simple appartement montréalais ! (L’autre style qu’ils aiment bien, trop souvent, fait “entrepôt” voire “usine”…)

If you tell the truth you don’t have to remember anything. (Mark Twain)

Technological progress is like an axe in the hands of a pathological criminal. (Albert Einstein)

Writing about music is like dancing about architecture. (anonymous)