Après avoir défini la réponse à médiation cellulaire, expliquez comment les communications intercellulaires par contact direct permettent la réalisation de cette réponse.

Les relations entre les États-Unis et l’U.R.S.S. de 1945 à 1991.

Le Japon : l’organisation du territoire (sur fond de carte)

Durée : 4h.

Comment font-ils pour ne pas mettre de moustiquaires à leurs portes et fenêtres ? Je suis née en Abitibi et je n’y ai jamais été gênée par les mouches et maringouins. C’est en France que je me suis le plus fait manger par les “stique-mous” de toute ma vie, à l’intérieur même des logis.

Et pourquoi tiennent-ils tant à aligner les arbres des forêts qu’ils replantent ? Même en ayant l’esprit très ouvert, indulgent et imaginatif, on ne trouve pas que ça a l’air naturel, ni joli…

Et puis non, il ne fait pas si froid ici. Il fait bien plus froid en France. Ce qui donne des frissons jusqu’aux os, toute la journée durant, ce ne sont pas les hivers canadiens, mais bien les hivers français. L’humidité y est transperçante et tenace, on la sent du lever au coucher. Le froid canadien mord les joues, le nez et les cuisses en sortant dehors, mais on se réchauffe bien vite ! Et à la limite, n’est-il pas préférable d’avoir un beau tapis de neige blanche (même s’il se transforme régulièrement en tapis de boue marronâtre…), plutôt qu’un interminable mois de novembre froid, humide, pluvieux et gris ?

En cette veille de rentrée scolaire, je vous livre quelques réflexions sur la médecine.

*Guérir parfois, soulager souvent, écouter toujours. *(Louis Pasteur)

Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c’est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n’aimez pas faire. (Mark Twain)

Le meilleur médecin est la nature : elle guérit les trois quarts des maladies et ne dit jamais de mal de ses confrères. (Louis Pasteur)

En parlant du roman, le philosophe André Comte-Sponville déclare : “À quoi bon inventer des histoires ? À quoi bon toutes ces phrases, toutes plus jolies et plus inutiles les unes que les autres ? Quand on est très jeune, les romans sont utiles ; il faut bien rêver la vie, avant de la vivre. Mais après ? La vie est un roman suffisant, non ? Il y a bien longtemps que je ne relis plus Proust ou Flaubert. Les poètes, oui. Les journaux intimes, les mémoires, les correspondances, oui, aussi, parfois. Mais les romans, non.”

En vous référant à votre expérience de lecteur, vous répondrez aux propos d’André Comte-Sponville, en choisissant la forme qui vous semblera le mieux convenir pour développer le point de vue que vous aurez choisi.

Durée : 6h.

Ce sujet continue de me hanter, encore aujourd’hui. Je veux bien connaître votre avis…